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… Quand votre personnalité peut détruire votre réputation.

LES ERREURS A NE PAS COMMETTRE

Le bon développement de votre carrière se réalise en fonction de la manière dont les gens vous voient. Pas seulement pour vos compétences. Votre relation sociale aux autres est déterminante pour asseoir votre position dans l’entreprise.

Vous devez maîtriser votre juste dose sociale – ni trop ni pas assez – pour être apprécié à votre juste valeur.

Malheureusement, un vent défavorable peut très vite arriver et ternir votre image : Si vous ne maîtriser pas suffisamment votre personnalité, vous pouvez ralentir vos possibilités d’accéder à un poste supérieur.

Même de « petites » erreurs  comme ignorer un feed-back négatif, répondre sur un coup de tête à des e-mails désagréables , peuvent causer des dommages significatifs à votre réputation.

Dorénavant, l’expérience et la maîtrise de votre sujet ne sont plus la clé de votre réussite en entreprise.

Les softskills ont le vent en poupe !  Ce sont vos compétences « douces », dites relationnelles.

C’est très simple, si vous ne les développez pas et que vous vous contentez uniquement de vos compétences techniques et intellectuelles, vous allez stagner…. Votre cercle professionnel attend bien plus de vous.

Le savoir-être et le savoir-vivre pour bien évoluer en entreprise sont indispensables.

Ça vous semble logique ? Pourtant, nombreux sont ceux qui laissent encore leur naturel déborder dans leur contexte professionnel.

L’importance accrue des softkills se remarquent d’autant plus chez les personnes qui en sont dénuées.

Vous en connaissez tous ! Peut-être même que cela vous est déjà arrivé …

  • Ceux qui n’arrêtent pas de parler quand vous essayer de tenir les délais,
  • Ceux qui n’ont aucun scrupules à s’approprier vos idées,
  • Ceux qui vous laissent travailler jusqu’à pas d’heure pour rattraper leurs erreurs, etc.

Comprenez que si vous manquez de lucidité et d’intelligence relationnelle, cela peut vous desservir totalement au niveau professionnel et vous tirer une balle dans le pied.

Vous vous demandez si vous en avez ?

  • Êtes-vous capable d’identifier facilement vos émotions et celles des autres ?
  • Vous mettez-vous souvent à la place de l’autre pour le comprendre ?
  • Contrôlez-vous ou ajustez-vous vos émotions et réactions en fonction des circonstances ?

Servez-vous de ces réflexions pour mieux vous connaître, améliorer certains traits de votre personnalité et mieux vous installer dans votre environnement de travail.

J’ai nommé dans la catégorie des meilleurs « destructeurs de carrière », les 9 personnalités suivantes :

Les lâches

La peur est un moteur extrêmement puissant.. Au travail, ceux qui sont submergés par la peur ont des comportements irrationnels et destructeurs. Les collègues apeurés n’hésitent pas à accuser les autres, dissimuler les erreurs graves qu’ils ont commises, et ils ne prennent jamais la défense de ceux qui sont injustement accusés. A fuir.

Les détraqueurs

Ceux qui se nourrissent du malheur des autres ou qui essaient de gravir les échelons en noircissant le travail des autres. Les détraqueurs imposent leur point de vue négatif et leur pessimisme à tous ceux qu’ils croisent. Avec eux, le verre est toujours à moitié vide, et la moindre contrariété tourne rapidement au drame.

Les arrogants

Ils vous font perdre du temps dans la mesure où ils prennent tout ce que vous accomplissez pour un défi à relever. L’arrogance, qui trahit leur manque d’assurance, est toujours le signe d’énormes complexes. Les personnalités arrogantes travaillent généralement moins bien et sont plus désagréables que les autres. Elles ont aussi davantage de troubles cognitifs.

Les tenants de la pensée unique

Ils sont partisans du moindre effort et leur devise est : « De toute façon, on a toujours fait comme ça. » Si on vous êtes assailli d’une vision étriquée non évolutive depuis mathusalem, faites attention. Personne n’a jamais accompli de grandes choses en se limitant au statu quo.

Les caliméros

Ceux qui n’ont pas de chance et c’est pô juste. Ils n’hésitent pas à justifier leur manque de réussite par un manque d’opportunités. Pourtant, si un petit coup de chance peut parfois vous donner l’impulsion manquante, travailler dur reste la clé number one du succès. Ce que ces personnes ne comprennent pas, c’est qu’elles ne sont pas victimes de la situation, mais de leur état d’esprit.

Les impulsifs

Certaines personnes sont absolument incapables de maîtriser leurs émotions. Elles vous agressent et s’imaginent des choses, tout en pensant que vous êtes la cause de leur mal-être. Elles ne font pas du bon travail car leurs émotions les empêchent d’y voir clair et leur absence de self-control les isole de plus en plus. Méfiez-vous d’elles : le moment venu, vous leur servirez d’exutoire.

Les victimes

On les reconnaît difficilement car on commence par leur témoigner de l’empathie. Avec le temps, on se rend toutefois compte qu’elles sont constamment en demande. Elles n’assument pas leurs responsabilités, car elles se font une montagne du moindre obstacle. Pour elles, les échecs ne servent pas à se remettre en question afin de mieux faire la fois suivante, mais à baisser les bras.

Les bonnes poires

Difficile de ne pas éprouver de la sympathie pour elles. Elles se retrouvent à faire du baby-sitting pour le patron — un dimanche! — alors qu’elles ont travaillé très tard la veille. Pour différentes raisons, les bonnes poires (qui ne sont souvent pas là depuis longtemps) se laissent faire, jusqu’au jour où la goutte d’eau déclenche un tsunami. On a tout à fait le droit de négocier son salaire, de dire non, et de remettre en question la façon dont certaines choses se font dans la boîte. Pour être respecté, il faut savoir défendre ses droits au bon moment et arrêter d’être « gentil ».

Ceux qui n’arrêtent pas de s’excuser

Pour chaque personne qui ferait bien de reconnaître ses torts, il y en a une autre qui le fait trop souvent. Les gens qui n’ont pas suffisamment confiance en eux s’excusent sans arrêt d’avoir proposé telle idée ou fait telle chose. Ils ont peut de l’échec et pensent que ces excuses à répétition les en protégeront. En fait, elles dévalorisent leur contribution, et leurs suggestions sont rarement retenues. Il est important d’accorder sa voix et sa posture physique à ses idées. Ne les exprimez surtout pas sous forme de question. Si vous estimez que ce que vous dites mérite d’être entendu, assumez, et faites part de votre opinion sans vous excuser.

CONCLUSION

Nous avons tous nos travers et nos forces, et peut-être même que nous avons tous en nous certains de ces traits de personnalités. Il suffit de faire preuve d’un peu de lucidité,  de les identifier et d’avoir réellement envie de changer pour les adoucir.

Kaizen is the key

#ameliorationconstante

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